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26 avril 2009 7 26 /04 /avril /2009 10:06

Dans le même temps, dans ce même magasin, je fais d’autres connaissances.

La petite Virginie, une jeunette d’à peine vingt ans. Douce, souriante, gentille, mais les relations restent cordiales. Elle se mariera et partira avec son mari pour d’autres lieux.

Martine, certes très gentille également, son contact est très agréable. Elle est venue à la maison deux fois, je pense, mais il y a quelque chose qui empêche de nouer des relations plus proches. Sa vie personnelle est un peu mouvementée, elle en subit les conséquences. Je lui ai fait un petit poème :

 

MARTINE

 

Sur le parking, arrive en trombe

A se garer, elle est prompte

De la voiture jaillit.

 

Adorable poupée

De son carton éjectée

Corsage légèrement entrebâillé

Veste, sur l’épaule jetée

Cheveux relevés

Quelques uns égarés.

 

Nerveuse, on la sent

En attendant le client

A son apparition

Son frais minois

S’éclaire d’un ravissant sourire

Elle sait accueillir.

 

Aux paroles de politesse

Répond avec gentillesse

Aux compliments

Adresse une moue câline

 

Port de tête dégagé

Elégante et souple

Perle de rosée

A la caisse, harmonieusement déposée.

 

Elle fascine

Martine.

 

Elle est grande et bien balancée. Je l’aurais bien vue comme mannequin. Elle m’a dit qu’on le lui avait proposé et qu’elle a refusé. Encore maintenant, nous avons de bons contacts mais sans plus.

 

 

PATRICIA

 

                            C’est la troisième petite caissière dont la présence était souhaitée par mon fils. Il n’a pu obtenir les coordonnées nécessaires pour l’inviter. De plus, je ne pense pas qu’elle serait venue.

C’est une petite femme adorable, gentille, jolie et souriante. Je ne crois pas l’avoir vue une seule fois sans son sourire, toujours égale à elle-même. Elle aime bien la blague et nous avons passé des moments agréables à sa caisse. Un jour, je lui ai demandé si elle aimait la poésie. Oh ! Non, pas du tout. Donc pas de poème pour elle.

Un jour, elle me dit :

- Ma fille Magali est caissière chez (l’autre grande surface que je fréquent), les samedis et jours fériés et pendant les vacances.

Avec mes relations, j’ai vite fait de la retrouver. Elle est charmante comme sa mère, gaie et fonceuse, elle est obligée de réussir. Au jour de l’an suivant, elle m’envoie ses vœux. Je lui répond et l’année suivante, je l’invite à venir à la maison avec son petit copain, chercher une boite de chocolats et une bouteille de champagne pour le petit copain, ce qui est accepté.

L’an dernier, Patricia pour nous remercier nous invite à aller prendre l’apéritif chez elle et c’est chose faite. Depuis c’est le tutoiement.

En ce moment elle est en terminale de ses études commerciale.

Les relations continuent.

La maman n’ayant pas voulu de poème, je décide d’en faire un à Magali :

 

 

MAGALI

 

Comme l’ange dans le ciel

Elle apparaît, plus belle que l’arc-en-ciel

Visage éblouissant de bonheur

Attendrit les cœurs.

 

Toujours épanouie

Pétille comme le champagne

On la respire, on la boit, on l’admire,

Pleine de vie

Son ambiance nous gagne

Sa compagnie est un plaisir.

 

En sa présence

La vie prend un autre sens

Sa grâce et sa joie communicatives

Tracent la voie à suivre,

Le chemin de la joie de vivre.

 

Sa gentillesse, c’est comme une caresse

Sa grâce, c’est comme un passe

Sa beauté, c’est l’attirance

Sa bonté, c’est un aimant

Son entrain, c’est la main tendue.

 

Si elle était une fleur,

Elle en serait la reine,

Ce serait une fleur qui symbolise :

Amour, grâce, gentillesse, bonté et beauté,

Ce ne pourrait être que, une rose éternellement épanouie

Délicatement parfumée

A l’éclat vif, mesuré.

 

Adorable Magali

 

(Surtout Magali, ne change pas)

 

Dans ce magasin, j’en ai connu beaucoup d’autres, mais les relations n’ont pas duré très longtemps pour plusieurs raisons : les contrats non renouvelés, le copain ou mari qui part travailler ailleurs et certaines qui ne reviennent pas après le congé de maternité. Avec les caissières, il y a aussi des employées avec qui j’ai entretenu de bonnes relations, sans oublier quelques petites étudiantes.

Voici quelques prénoms, mais je vais en oublier pas mal :

Carole, Aurélie (1) (toutes les deux d’une extrême gentillesse avec moi), et (2), Sylvie, Jacqueline, Sandrine, Cathy, Morgane, Charlotte, Liliane, Erika, Emmanuelle (1) et (2), Corinne, etc…

L’ambiance n’étant plus ce qu’elle était, depuis quelques années, je vais bien moins souvent dans ce magasin et je vais dans un autre, certes un plus éloigné, mais beaucoup plus agréable. J’ai cependant gardé un contact avec Géraldine, Patricia et Sandrine

 

 

 

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